mission #27 - Besoin d'une petite aide.. ~ [Fermé]

Entendant des bruits de pas s'approcher, Nemuni paniqua et s'empressa de remettre le livre où elle l'avait pris. Elle se rassit sur le coin de la table.

Nemuni : [j'aurai l'air suspect si je ne fais rien ! ]

Aussitôt, elle se attrapa ce qui lui passa sous la main et joua avec.

(tu as champ libre pour faire ce que tu veux comme situation ! :D)

(euh oui, d'accord! xD)

Elliot:

Une fois descendu, il entra dans l'atelier. Elle semblait occupée à autre chose, bien qu'il doutait qu'elle ait passé son temps à faire ça. Ne prêtant pas d'attention particulière à Nemuni, il alla voir la potion qui devait reposer. Presque prête. Il regarda ses étagères et vit qu'un livre n'était pas à sa place habituelle. Il devina qu'elle y avait sûrement touché...

Nemuni : Que faisons-nous à présent ?

Après un long moment à avoir un peu embêter son employeur, Nemuni avait décidé qu'il était de redevenir sérieuse... Pour un temps. Elle aviserait en fonction de la situation mais pour le moement elle désirait seulement apprendre plus de chose !

Elliot: Il faudrait que tu ailles me chercher des feuilles d'érable séchées puis moulue au marché, s'il te plaît.

Pendant qu'elle irait chercher l'ingrédient manquant, il pourrait vérifier si elle avait en effet touché ou non aux livres de cette étagère. Il se montra d'un coup assez méfiant, sûrement sur le coup de sa saute d'humeur soudaine.

Nemuni : [Incroyable ! Malgré tout ce que j'ai fait subir à ce petit prude, il reste tout de même poli avec moi ?] *elle se retient de rire* Je me dépêche alors, je ne voudrai pas te faire perdre trop de temps, E-lli-ot ! *sourire "chaleureux" *

Elle bondit alors sur ses pieds et quitta la pièce, puis la maison. Une fois dans la rue, elle pris la direction du marché d'un pas vif.

Elliot attendit qu'elle s'en aille vivement, il ne pensait pas qu'elle partirait aussi facilement. Il ne prêta même pas attention à sa "provocation", cette habitude qu'elle aimait faire perdurer pour l'embêter, à décomposer son nom. Dès qu'elle eut franchit la porte, il s'assura qu'elle n'était plus assez prêt et il chercha une poudre dans un de ces tiroirs. C'était une poudre qui pouvait dire où est-ce qu'une personne précise n'était passée. Il en prit une pincée et souffla dessus avant de dire le prénom de sa chère acolyte. Une traînée rouge comme les cheveux de Nemuni flotta dans les airs. Il vit qu'elle avait pris un des livres de l'étagère qui avait attiré son attention. Il prononça une incantation et la poudre retomba au sol. Il ne prit pas la peine de la balayer et prit le livre. Il le feuilleta, ce n'était qu'un livre avec des petites formules très simples sans importance. Il le rangea puis passa très sommairement le balai, histoire de faire disparaître les poudres trop en évidence.

Nemuni ne tarda pas à arriver au marché. N'ayant pas envie de chercher pendant des heures pour trouver ce qu'elle cherchait, elle interpella deux hommes qui bavardaient comme des pies.

Nemuni : Bonjour messieurs ! Je cherche des feuilles d'érables séchées puis moulue. Es-ce que vous savez où je peux en trouver ? *sourire normale*

Vendeur 1 : Vous êtes arrivée au bon stand ! *s'exclama-t-il avant d'aller chercher ce qu'elle demande*

Vendeur 2 : Mais dites-moi, je ne vous ai déjà vu, non ?

Nemuni : *sourire chaleureux* [Elliot, tu vas bientôt te mordre les doigts !]  Je suis passé récemment avec mon petit ami !

Vendeur 1 : C'est qu'il est chanceux notre petit Elliot ! *rigola-t-il en arrivant avec les feuilles*

Nemuni : *imitant parfaitement la gêne* Comment savez-vous que...

Vendeur 2 : Vous savez, le petit Elliot n'ai pas souvent accompagné alors quand il est avec quelqu'un, on le remarque tout de suite !  Surtout si c'est avec une femme aussi charmante ! C'est très réjouissant ! Pas vrai Borris !

Borris : Et il y a de quoi, Robert. *Chuchote à Nemuni comme si il faisait une confidence* Nous croyions même qu'il était homosexuel le petit !

Nemuni se retient de rire ! Quelle chance pour elle d'être tomber sur deux commères ! 

Nemuni : Et bah je peux être sure que c'est faux ! Ah ! Je l'aime tellement, si vous saviez ! J'espère que notre histoire va durer encore longtemps ! * air rêveur*

Borris : Je vous souhaite d'être heureuse avec lui ! Tenez, voici ce que vous avez demandé.

Nemuni paya en commença à partir quand les deux vendeurs l'appelèrent. Ils s’approchèrent d'elle et Borris demanda :

Borris : Es-ce que le petit était encore puceau ?

Nemuni cacha son envie rire en faisant une mine gênée. Elle secoua la tête négativement puis s'en alla rapidement, comme si elle était envahit par la honte ou la gêne. Elle se permit de sourire lorsqu'elle entendit derrière elle :

Robert : Hé, les autres, vous devinerez jamais ce qu'on vient d’apprendre, Elliot...

Nemuni avait quitté la rue, elle n’entendait plus ce qu'il disait. Elle se dépêcha de rentrer chez Elliot. Elle ricana en se disant que ce dernier était en train de devenir le sujet de toutes les discussions !

Elliot:

Il remarqua que quelques personnes étaient passées plutôt lentement devant sa maison en la montrant du doigt. Il ne comprit pas pourquoi, se demandant bien quel intérêt soudain pouvait-on donc trouvé pour sa maison, ou pour lui, il y avait bien écrit sur sa porte qu'il ne prenait personne avant un bon bout de temps, ça posait un problème?

Nemuni arriva devant la porte, elle sourit au gens qui passait puis pénétra dans la maison en disant :

Nemuni : Je suis rentrée, E-lli-ot ! Je n'ai pas trop été longue ?

Elle arriva dans le bureau et déposa son achat. Elle se tourna ensuite vers le propriétaire pour attendre sa réponse, et lui demander silencieusement ce qu'elle devait faire.

Quand Nemuni rentra, il était devant sa fenêtre, en train de fusiller du regard les gens qui s'arrêtaient avec des sourires niais devant sa maison. Que diable avaient-ils donc tous depuis quelques minutes! Il se tourna même pas vers son assistante pour lui répondre.

Elliot: Prends la potion qui mijote dans son coin, celle qu'on avait laissé reposer hier. Normalement elle a changé de couleur.

Il était sûrement partagé entre la colère et l'incompréhension en regardant ces gens, mais on voyait plus une moue boudeuse sur son visage qu'un air menaçant.